Arriving near the beginning of the season to join ASB Premiership club Team Wellington, the 23-year-old is feeling more and more at ease in the Land of the Long White Cloud, despite the language barrier.
“My integration has gone well. I was welcomed into the heart of the team and my relationship with my teammates is really good,” Kayara says.
“It didn’t hurt that the assistant coach is French, which has allowed me to adapt to the game style much quicker.
“The language is still my weak point but I’m working on it. I live in a flat with one of my teammates who is Australian and that is helping me to make progress. After a month I feel much better in this regard.”
This new experience has also allowed the Caledonian to get to learn a new style of football.
“The game is different to what I learnt in New Caledonia. I think that at a technical level we have better players in New Caledonia,” he says.
“Here in New Zealand the game is more physical and more tactical. We spend a lot of time working on positioning and I’ve learnt a huge amount about this aspect of the game.
“I came to New Zealand to continue to improve my football.”
Like a number of his colleagues in the national side, Kayara has set his sights on a professional football career.
“I love football and I dream of becoming a professional. When the opportunity to play in New Zealand presented itself, I didn’t hesitate. It’s a great experience and I’m learning so much.”
With this goal in mind, and a three-year visa in his pocket, Kayara can take each day at a time as he continues to build towards his ultimate goal.
“We will see what my future holds with Team Wellington, but I would like to continue to progress and achieve my dream of one day becoming a professional.”
FRA
Roy Kayara, un cagou au pays des kiwis

oceaniafootball.com s’est entretenu avec l’international calédonien Roy Kayara pour en savoir plus sur sa nouvelle vie en Nouvelle Zélande.

Arrivé en début de saison dans le club de la capitale néo-zélandaise, Team Wellington, le joueur de 23 ans se sent de plus en plus à son aise au pays du long nuage blanc malgré la barrière de la langue.

‘’Mon intégration se passe très bien. J’ai été bien accueilli au sein de l’équipe et ma relation avec mes coéquipiers est très bonne. De plus l’entraîneur adjoint est français, ce qui me permet de m’adapter plus vite au système de jeu.’’

‘’La langue reste mon point faible mais j’y travaille. Je vis en colocation avec un de mes coéquipiers qui est australien et ça m’aide beaucoup pour progresser. Après un mois, je me sens plus à l’aise à ce niveau-là.’’

Cette nouvelle expérience permet aussi au calédonien de connaître un nouveau style de jeu.

‘’Le jeu est différent de ce que je connais en Nouvelle Calédonie. Je pense qu’au niveau technique on a de meilleurs joueurs en Nouvelle Calédonie. Ici, en Nouvelle Zélande, le jeu est plus physique et plus tactique. On travaille beaucoup sur les placements. J’apprends énormément sur cet aspect du jeu.’’

‘’Je suis venu en Nouvelle Zélande pour continuer à faire progresser mon football.’’

Comme certains de ses coéquipiers en sélection, Kayara désire connaitre une carrière de footballeur professionnel. Après un essai à Sheffield United en Angleterre qui n’a pas donné suite, il décide de persévérer et tenter sa chance en Nouvelle Zélande.

‘’En Angleterre, j’ai connu ce qu’était le haut niveau. J’aime le foot et je rêve de devenir professionnel. Lorsque l’opportunité de jouer en Nouvelle Zélande s’est présentée, je n’ai pas hésité. C’est une bonne expérience où j’apprends beaucoup.’’

‘’De plus, Wellington est la ville où le club professionnel, les Wellington Phoenix, est basé. Je travaille beaucoup aux entraînements pour m’améliorer et avoir du temps de jeu en match avec Team Wellington. Après, tout peut arriver et pourquoi pas signer un jour chez les pros.’’

Avec cet objectif en tête et un visa de trois ans, Kayara a le temps de progresser pour réaliser son rêve et son désir d’être meilleur jour après jour.

‘’On va voir quel sera mon futur avec Team Wellington mais je souhaiterai rester pour continuer à progresser et réaliser ce rêve d’être un jour professionnel.’’